NDC-1-25-FINANCES PUBLIQUES
Les recettes publiques ont affiché une très forte croissance de 10% en 2024 (un rythme similaire à 2023), stimulées principalement par les impôts sur les sociétés et le relèvement des taux de TVA. Les dépenses ont au contraire fortement freiné (passant de +12% en 2023 à +6% en 2024), en particulier les subventions et transferts liés à la crise énergétique. Cette croissance bien plus forte des recettes que des dépenses a engendré un excédent budgétaire de 1% du PIB en 2024.
Le solde public devrait repasser en territoire négatif à l’horizon 2026 (0% du PIB en 2025, -0.9% en 2026), sous l’effet d’un ralentissement important de la croissance des recettes, alors que les dépenses accéléreraient légèrement en 2025 avant de ralentir en 2026. Les recettes publiques devraient freiner avec l’allégement des impôts en faveur des ménages et sous l’hypothèse d’une perte d’élan des impôts sur les sociétés. Les dépenses seraient quant à elles stimulées par les prestations sociales, les salaires, l’investissement et les transferts.
Publications
- PRÉFACE
- RÉSUMÉ ET FAITS PRINCIPAUX
- 01 CONJONCTURE INTERNATIONALE
- 02 ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE
- 03 INFLATION ET SALAIRES
- 04 MARCHÉ DU TRAVAIL
- 05 FINANCES PUBLIQUES
- 06 ÉNERGIE ET ÉMISSIONS
- Etude 7.1 - Une guerre commerciale emplie d’incertitudes
- Etude 7.2 - La baisse de la productivité du travail au Luxembourg influencée par la rétention de main-d’oeuvre ?
- Etude 7.3 - De nouvelles équations de prévision de l’inflation trimestrielle au Luxembourg
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